Constatant un double Echec : L’Incapacité du Magasin CNAC de Grenoble à être un lieu signifiant pour le territoire et à remplir ses missions de création et de diffusion artistique, les ami.e.s du Rouvre questionnent les formes de gouvernance des institutions culturelles.
Le Magasin a également échoué à établir un lien avec la diversité des artistes du territoire, formé.e.s à l’Ecole d’Art et contraint.e.s de le quitter.

Depuis ce constat, la Superette a pris la décision d’expérimenter un forme de gouvernance du lieu le Magasin pour la durée d’un mois.
Et peut-on savoir ce qu’il en a été et ce qu’il en est à présent?
Comment les tutelles ont-elles intégré le fait de concéder la gouvernance à « Rouvre »? Quel statut à Rouvre…?
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On va dire que c’est toujours en stand by et je ne sens pas de volonté politique pour réouvrir le CNAC de Grenoble.
J’essaie de parler Culture et Art avec notre municipalité écolo mais ils semblent assez hermétiques à mes propositions. (Je n’ai pas besoin d’eux. car créer doit se faire sans carcan).
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Les lieux qui vivent n’ont en fait jamais cessé ni de vivre ni d’être actifs, bien au contraire. Depuis le mois de mai, de Perpignan à Hyères en passant par Nantes et Kerguehennec, Montpellier, Sérignan,
Sète, Bourg en Bresse, Saint-Claude et Ornans je n’ai vu que des projets ouverts et pleinement réalisés dans des lieux et des environnements dynamiques, effectivement
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J’ai l’impression que les initiatives privées sont beaucoup plus porteuses que les projets officiels alourdis qu’ils sont par la procédure bureaucratique sclérosante.
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Je n’ai évoqué là que des structures publiques sauf peut-être HAB à Nantes et ÀCentMètresDuCentreDuMonde à Perpignan, mais des lieux financés exclusivement par des fonds publics dédiés. Cela tient beaucoup à l’environnement qui conditionne les choix politiques et bien évidemment aux acteurs locaux. Et bien sûr à la qualité et la nature des projets artistiques,
Toulouse par exemple est d’un vide sidéral en matière d’art contemporain excepté quelques initiatives privées sans moyens….
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