Laboratoire

de phase3

 » Lors de mes expositions, j’aime entendre les différentes histoires que la toile raconte aux spectateurs, les émotions qu’elle véhicule, ce qu’ils ressentent.

Si les résonnances ne sont que rarement les mêmes, il semble que ma peinture réussisse toujours à captiver et émouvoir ceux qui la regardent. Elle tente de transmettre les tourments de l’âme, les joies et les tristesses qui parcourent notre existence. Chaque toile est unique, portant en elle une histoire qui ne demande qu’à être découverte et personnifiée.

La peinture est une forme d’expression riche et libératrice. C’est un moyen de communiquer sans limites, de transcender les barrières linguistiques et culturelles. Chacune de mes toiles, trace de mes expériences, est une extension de moi-même, une part de mon âme que je laisse libre de s’exprimer pour transmettre mes émotions et mes idées. J’aspire à créer une expérience unique et personnelle à travers chaque tableau. Que vous soyez touché, inspiré ou simplement intrigué, je vous invite à plonger dans mon univers pictural et à découvrir les innombrables histoires qui se cachent derrière lui.


Prochainement

2024

« Rythmologie – Chorégraphie urbaine »

MSH – Alpes

1221 Avenue Centrale

38400 Saint-Martin-d’Hères

Vidéo du 4 août 2023 tournée au domaine de Saint-Jean-de-Chépy


2022

du 4 octobre au 5 novembre

« ZENPUNK »

Centre Ambulatoire de Santé Mentale
8, Place du Conseil National de la Résistance

38400 Saint-Martin-d’Hères

  • http://blog.thephase3.fr/

La prémonition se réalisait enfin. Son existence connaissait maintenant une inflexion qui tout doucement et de manière non linéaire, le conduira du chaos terrible de la psychiatrie à l’apaisement lumineux de l’Eveil. Après une longue méditation, il nomma la voie de résolution de ce conflit manichéen entre les ténèbres et la lumière, le ZenPunk.

Inspiration


« En terre hostile »

du mardi 11 au jeudi 20 octobre

Saint-Jean-de-Maurienne

L’arrachement de son Grenoble natal et l’accueil ostracisé que lui fit la Maurienne firent de Pierre-Louis un adolescent mal à l’aise dans la vie et dans son environnement. Saint-Jean -de-Maurienne s’est très vite avéré être pour lui une terre hostile.

653 rue des Chaudannes

Il n’avait pas d’amis du cru et jouait avec les enfants du quartier un peu pauvre où il habitait, les Chaudannes. Comme celui de la Bastille, le quartier des Chaudannes était prolétaire. Il avait même sa propre église. Avec les copains, il apprit à se battre et surtout à se défendre des brimades autochtones. Il dû même casser quelques paires de lunettes et quelques nez pour ne plus être embêté et se faire respecter. même si cela ne lui plaisait pas du tout.

Certaines idées trop novatrices ne font pas recette dans les montagnes et l’urbanisation extrême amène une augmentation des différences significatives de rythmes entre les villes et les campagnes créant ainsi une sorte de décalage des mentalités et des consciences.


2020

« Gilets Jaunes » 


2019

 « Le grand chaos qui nous entoure ne fait plus le doux bruit de la mer mais celui d’un tsunami. La simplicité d’une époque s’oppose à la complexité incontrôlable qui, aujourd’hui, semble rendre toute chose impossible. Point de non retour ? Pour ne pas accepter la fatalité, juste s’assoir pour boire un café même si c’est pour la dernière fois ».

« µexpo »

Retour sur la µexpo au Chimère café d’un point de vue pictural en suivant ce lien ou d’un point de vue plus philosophique en suivant celui-là.


2018

« Did psychiatrists saved phase3 ? »


2017

Inspiration

« Collapsologie » 


du 4 octobre au 5 novembre

2016

« Psychiatrists tried to kill phase3 »

Compte-rendu de l’exposition [ici]


Discussion publique avec Sébastien Dieguez, neuropsychologue au laboratoire de neurologie de l’université de Fribourg (Suisse) le 15 mars 2016 à Eybens (38) où Pierre-Louis cherche à comprendre pourquoi la forte médication qui lui fut administrée pendant plus de 30 ans le coupa de toute forme de créativité artistique.



du 9 au 17 juillet

1983

« phase3 Xpose »



1983

« Expo Terre »



mai

1983

« Berriat 83 »

Evocation de nos années 80 avec Pascal alias Mackno :

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